Après le Lévitique et les Psaumes, les paraboles de la Miséricorde

Mercredi 16 mars à 19h30
Prendre goût à lire la Bible

Les paraboles de la brebis perdue, de la drachme égarée, ou celle du père et ses deux fils… du bien connu ! Peuvent-elles encore nous surprendre ?

Pour répondre à cette question, n’hésitez pas à venir le mercredi 16 mars à 19h30, rue de la linière 14 à 1060 Saint Gilles (inscription souhaitée par mail: catechese@catho-bruxelles.be).

Un atelier animé par Régis Burnet, professeur de la faculté de théologie de l’UCL, vous permettra de relire les paraboles du chapitre 15 de l’évangile de Luc, pour donner goût ensuite à d’autres de les lire.
Cet atelier fait suite à deux autres rencontres qui ont déjà eu lieu.

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• Au gré des humeurs, prier avec les Psaumes
  Samedi 20 février, avec l’aide de Marie-Thérèse Hautier, aumônière à l’hôpital Saint Luc, trente personnes se sont laissé surprendre par les psaumes. Quand nous n’avons plus de mots pour prier, nous pouvons toujours lire les Psaumes… Ce livre des louanges a permis à Israël, à Jésus, à des générations de croyants de mettre des mots sur les sentiments les plus ambivalents qui habitent leur intériorité. Si, avec le Psaume 135, nous reconnaissons ensemble l’élan, le mouvement de compassion, la bonté du Seigneur, il est également possible avec le Psaume 57, un des plus violents du psautier, de déposer notre haine, notre désir de vengeance entre les mains du Seigneur, qui agira avec justice.
• Justice et Miséricorde dans le Premier Testament
  Avec Didier Luciani, également professeur de la faculté de théologie de l’UCL, le 18 janvier dernier, nous avons traversé l’Ancien Testament pour voir comment s’articulent en Dieu les deux attributs ‘Justice’ et ‘Miséricorde’: Dieu se révèle miséricordieux dans sa manière d’exercer la justice. Cette révélation progressive de Dieu dans l’Ancien Testament prend chair dans le visage de Jésus qui nous montre concrètement, en paroles et en actes, ce que signifie pour le Père ‘être miséricordieux’.
  Nous avons étudié le texte de Lv 23, 9-22… allez le lire, à première vue ce n’est pas très parlant ! Or la structure nous dévoile le fondement chrétien des œuvres de miséricorde :
  quand vous récolterez votre moisson en Terre Promise et que vous ne ferez plus l’expérience du don de la manne, donnez à Dieu la 1ère gerbe (introduction) et aux pauvres la ‘glanure’ (conclusion). L’usage de la terre, quand vous y serez, est encadré par le droit de Dieu et le soin du pauvre.